Citation de Georges Clemenceau sur Politique, Imbéciles et Incapables

Un peintre a l'âge de ses tableaux ; un poète a l'âge de ses poèmes ; un scénariste a l'âge de ses films. Seuls les imbéciles ont l'âge de leurs artères.

C'est souvent avec une femme idiote qu'on peut vivre en bonne intelligence.

Il y a quatre types idéals : le crétin, l'imbécile, le stupide et le fou. Le normal, c'est le mélange équilibré des quatre.

On a tous la possibilité de faire de la politique dans sa vie quotidienne. On peut tous être un peu responsables.

En dehors du français, il y a une seule langue nationale que la Constitution tolère : la langue de bois !

Le discours politique vole bas, mais il n'atterrit jamais.

Il n'y a pas de bon âge pour se marier. Il faut être stupide pour avoir envie de se marier.

La télévision fait courir un danger très grand aux différentes sphères de la production culturelle, art, littérature, un danger non moins grand à la vie politique et à la démocratie

Franchement, il y a pas plus stupide qu'une mort dans un stade. Moi, mon rêve le plus cher serait que les supporters de foot du monde entier se donnent la main... et se jettent dans le vide.

Nous n'avons pas de Constitution qui fonctionne en l'absence d'un peuple moral.

Il vaut mieux se taire et passer pour un con plutôt que de parler et de ne laisser aucun doute sur le sujet.

La politique est une guerre sans effusion de sang tandis que la guerre est une politique avec effusion de sang.

Un politicien est une personne avec laquelle vous n'êtes pas d'accord sur la politique ; si vous êtes d'accord avec lui, c'est un homme d'État.

Je pense que la religion est une chose amusante parce que, quand on voit quelqu'un qui peut vraiment la décomposer, on a parfois l'impression d'être stupide de croire ce que l'on croit.

La politique étrangère, c'est comme les relations humaines, sauf que les gens se connaissent moins bien.

Il arrive que des gens intelligents ont de la dignité, mais les imbéciles n'en manquent jamais.

Un pigeon, c'est plus con qu'un dauphin, d'accord... mais ça vole.

Je suis arrivé à la conclusion que si les puissants de la terre sont capables de provoquer la misère, ils sont incapables d'en supporter la vue.

Un livre, c'est un peu comme un homme politique : il n'est rien sans l'électeur.

N'importe quel imbécile peut critiquer, condamner et se plaindre - et la plupart des imbéciles le font.

La guerre n'est rien d'autre que la continuation de la politique par d'autres moyens.

J'ai envie de suggérer une hypothèse, selon laquelle la faible participation des femmes sur la scène politique serait le simple mépris qu'elles en ont.

Dans la vie, ce qui est grave, c'est pas tellement d'être con ! C'est de le rester !

Je crois que notre société industrielle souffre d'un malaise fondamental, qui est d'ordre moral et politique et se résume à ceci que l'individu n'a de pouvoir que dans le rôle irresponsable du consommateur.

C'est cela vivre, ça se résume à cela finalement, faire quelque chose de ce qui nous arrive, sinon on reste là au bord du chemin, comme une bête apeurée, et on n'a plus d'autre choix que de crever.

Le politique est le lieu d'affrontement entre l'exigence morale et les nécessités extérieures.

La France est capable de grandes choses quand il y a une volonté politique !

Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche.

Ce qui distingue l'homme de la bête, c'est que la bête n'est pas toujours obligée de lutter pour ne pas se comporter comme un homme.

N'importe quel con avec une boite d'allumette sait allumer un feu, mais faire pleuvoir le souffre est une épreuve d'endurance, le génocide de masse est une activité physique très intense et très exigeante.