Citations de Mao Zedong

Le peuple est comme l'eau et l'armée est comme le poisson.

La révolution n'est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une oeuvre littéraire, un dessin ou une broderie.

Ne donnez pas un poisson à un enfant mais montrez-lui comment le pêcher.

Le fondement de la théorie c'est la pratique.

Rabattons notre suffisance, critiquons sans relâche nos propres défauts, tout comme, chaque jour, nous nous lavons la figure pour rester propres et balayons pour enlever la poussière.

Le communisme n'est pas l'amour. Le communisme est un marteau que nous utilisons pour écraser l'ennemi.

Sans destruction pas de construction ; sans barrière pas de courant ; sans arrêt pas d'avance.

Chaque communiste doit assimiler cette vérité : le pouvoir est au bout du fusil.

La guérilla doit se déplacer parmi les gens comme un poisson nage dans la mer.

La gentillesse dans les mots crée la confiance. La gentillesse dans la pensé crée la profondeur. La gentillesse de donner crée l'amour.

Les femmes tiennent la moitié du ciel.

Permettre à chaque femme qui peut travailler de prendre sa place sur le front du travail, selon le principe du salaire égal pour un travail égal.

Tout pouvoir politique vient du canon d'un fusil. Le parti communiste doit commander toutes les armes, de cette façon, aucune arme ne pourra jamais être utilisée pour commander le parti.

La vérité doit s'inspirer de la pratique. C'est par la pratique que l'on conçoit la vérité. Il faut corriger la vérité d'après la pratique.

Il est plus utile de tuer des moustiques que de faire l'amour.

L'histoire de l'humanité est un mouvement constant du règne de la nécessité vers le règne de la liberté.

Lorsque l'ennemi avance, retirez-vous; quand il s'arrête, harcèlez-le; quand il se fatigue, frappez ; quand il bat en retraite, poursuivez.

Il n'est pas difficile à un homme de faire quelques bonnes actions ; ce qui est difficile, c'est d'agir bien toute sa vie, sans jamais rien faire de mal.

Quand il n'y a pas assez à manger, les gens meurent de faim. Il vaut mieux laisser mourir la moitié des gens pour que l'autre moitié puisse manger à satiété.

La bouse de la vache est plus utile que les dogmes : on peut en faire de l'engrais.

La politique est une guerre sans effusion de sang et la guerre une politique sanglante.

Premièrement, ne craignez pas les difficultés, et deuxièmement, ne craignez pas la mort.

Une armée sans culture est une armée stupide, et une armée stupide ne peut vaincre l'ennemi.

La révolution est un drame passionnel.

Il peut y avoir des milliers de principes du marxisme, mais en dernière analyse ils peuvent se résumer en une phrase : la rébellion est justifiée.

N'attendez pas que les problèmes s'accumulent et causent beaucoup de problèmes avant d'essayer de les résoudre.

L'impérialisme est un tigre de papier.

La politique est une guerre sans effusion de sang tandis que la guerre est une politique avec effusion de sang.

Les mauvaises herbes du socialisme valent mieux que les récoltes du capitalisme.

Soyez résolu, ne craignez aucun sacrifice et surmontez toutes les difficultés pour remporter la victoire.

L'existence sociale des hommes détermine leur pensée.

Qui sont nos ennemis ? Qui sont nos amis ? C'est une question de première importance pour la révolution.

Il est nuisible au développement de l'art et de la science d'imposer par des mesures administratives un style particulier d'art ou une école de pensée à l'exclusion d'une autre.

Le ciel n'est pas plus grand que l'embouchure du puits.

Méprisez stratégiquement votre ennemi, mais prenez-le au sérieux tactiquement.

Pour réveiller un tigre, utilisez un long bâton.

Les armes sont un facteur important dans la guerre, mais pas le facteur décisif ; c'est l'homme et non les matériaux qui compte.

Les décès ont des avantages. Ils peuvent fertiliser le sol.

Au début de tout ce qui sort de l'ordinaire, la masse du peuple n'aime toujours pas ça.

Ne pas avoir un point de vue politique correct, c'est comme ne pas avoir d'âme.

Lire trop de livres est nocif.

L'homme doit conquérir la nature.

Civilisez l'esprit mais rendez le corps sauvage.

Nous ne pouvons rien apprendre tant que nous ne nous sommes pas débarrassés de la complaisance.

Le peuple, et le peuple seul, est le moteur de l'histoire du monde.

Si vous voulez connaître la théorie et les méthodes de la révolution, vous devez participer à la révolution.

Nous devons soutenir tout ce à quoi l'ennemi s'oppose et nous opposer à tout ce que l'ennemi soutient.

La passivité nous est fatale. Notre objectif est de rendre l'ennemi passif.

La première loi de la guerre est de se préserver et de détruire l'ennemi.

Il n'y a pas de routes droites dans le monde.