N'acceptez rien comme amour qui manque de vérité.
Il faut revenir à la vieille idée de Montesquieu de séparation des pouvoirs et de souveraineté du peuple.
L'âme de la femme est façonnée comme un abri dans lequel d'autres âmes peuvent se déployer.
Quiconque cherche la vérité cherche Dieu, qu'il en soit conscient ou non.
La pensée ne livre rien de la pureté et des profondeurs de l'âme ni de la vie du coeur, sinon les motifs qui la conduisent.
Les tyrans modernes ne promettent rien, ils font barrage.
Prenez tout exactement tel qu'il est, mettez-le entre les mains de dieu et laissez-le Lui.
Orbán utilise un vocabulaire et une rhétorique nationalistes, il mobilise la haine contre l'étranger, mais cela n'a rien à voir avec le populisme...
Les mystères du christianisme forment un tout indivisible. Si l'on se plonge dans l'un, on est conduit à tous les autres. C'est ainsi que le chemin qui commence à Bethléem mène immanquablement au Golgotha, de la crèche à la croix.
Une vie dans l'abondance et le confort bourgeois est en contradiction avec l'esprit d'une sainte pauvreté et sépare du pauvre crucifié.
Nous devons créer dans notre vie un espace pour le Sauveur eucharistique afin qu'il puisse convertir notre vie en sa vie.
On ne peut pas désirer la liberté de la Croix quand on est spécialement choisi pour la Croix.
L'idée d'universalisme peut être sauvée uniquement sur les bases de la démocratie libérale.
En Hongrie, des moeurs totalitaires ressurgissent.
Marx disait que le prolétariat, en se libérant, libérerait le monde entier. Si le prolétariat s'est largement émancipé - l'ouvrier est désormais un électeur comme un autre -, le monde n'a en revanche pas été libéré.
Aujourd'hui, nous avons les mêmes smartphones, la même physique, les mêmes sciences partout dans le monde. Et il n'y a ni liberté, ni bonheur, ni justice dans de vastes parties du globe. Ces illusions se sont écroulées, nous faisant entrer dans une époque post-utopique.
Ceux qui se taisent sont responsables.