Ce que la voix peut cacher, le regard le livre.
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Cette phrase possède 10 mots. Elle est considérée comme 1 citation très courte.
J'ai eu longtemps un visage inutile, mais maintenant j'ai un visage pour être aimé, j'ai un visage pour être heureux.
Le regard de l'ami devrait nous livrer notre propre image avec exigence. L'amitié se tiendrait alors dans une réciprocité sans faille, guidée par le même principe d'amour : le respect qu'on se doit à soi-même pour que les autres nous le rendent, naturellement.
La possibilité de vivre commence dans le regard de l'autre.
Brûler un livre est une triste vision, comme si les idées contenues à l'intérieur disparaissaient tandis que les pages tombent en cendres.
Ecrire un livre avec un chien demande plus de travail qu'avec un nègre.
Au moment où vous écrivez les derniers paragraphes, le livre vous témoigne une certaine hostilité dans sa hâte de se libérer de vous.
Ce que le lecteur veut, c'est se lire. En lisant ce qu'il approuve, il pense qu'il pourrait l'avoir écrit. Il peut même en vouloir au livre de prendre sa place.
Le visage est le miroir de l'âme.
L'acteur s'adresse à un public hypothétique. Il le regarde mais ne le voit pas. C'est un regard qui le traverse, qui passe au-delà de lui.
Un livre sera toujours moins fort qu'un litre de vin pour modifier ce que tu penses.
Tout bon livre doit savoir provoquer l'attente : lire, c'est attendre la suite !
Le livre vaut-il le glaive, la discussion vaut-elle l'action ?
Paulo disait qu'il y avait deux écoles. La première était de se jeter dans un livre pour éviter la vie. La deuxième était de se brûler à la vie pour écrire un livre. Lui préférait la voix. Ça brûlait aussi.
J'entreprends ce voyage pour être loin de l'hideuse face humaine !Enfin, pouvoir durant 15 jours se recueillir sur la face grave de l'océan! Son visage attristé est le mien. Ce flot horrible qui déferle, mon amertume. Moi aussi j'ai mes abîmes.
Quand il est le fruit d'une réflexion, l'amour est fragile : qui a aimé n'a-t-il pas aimé dès le premier regard ?
Insensible à l'agitation habituelle à chaque nuit de la mousson, le père dormait tranquillement, également oublieux de ses espoirs, de ses malheurs, de ses amis et de ses ennemis ; et, à la lueur de chaque éclair, la fille, debout, immobile, parcourait avidement la large rivière d'un lourd regard inquiet.
L'amour a un caractère si particulier qu'on ne peut le cacher où il est, ni le feindre où il n'est pas.
Un livre a toujours deux auteurs : celui qui l'écrit et celui qui le lit.
La réalité nous livre des faits si romanesques que l'imagination elle-même ne pourrait rien y ajouter.
J'ai été élu mais dans le regard de beaucoup de Français, je ne l'étais pas devenu.
La télévision est une machine à montrer ceux qui y passent et à cacher ceux qui n'y passent pas.
La souffrance enlaidit les êtres. Elle durcit les traits, fige le sourire, donne des rides et un teint gris. Le visage des gens qui souffrent fait mal voir.
Dieu est à la fois l'objet du regard et le mystère du non-regard. En vérité pourtant, ni le regard de l'homme ne l'atteint, ni son non-regard, ni son agir, ni son cesser d'agir. Dieu est l'Au-delà.
Ne te fie pas à l'apparence, c'est souvent trompeur. Ne te fie pas au sourire, il peut cacher une souffrance. Ne te fie pas à la richesse, elle est éphémère.
Sans être poudrée - la blancheur de ton visage jeune mariée !
Si l'on veut qu'un livre dise quelque chose d'intéressant, il faut qu'il provoque la discussion autant que l'accord.
J'ai suivi les conseils qu'il y a dans le livre de Rika Zaraï : « Le masque pour la nuit. » Tu te mets des carottes, des olives, des oeufs, des champignons. Et, au réveil, t'as une pizza.
Je détestais me voir à l'écran. J'étais plein de complexes. J'ai détesté mon visage pendant très, très longtemps.
Un livre terminé est un objet futile - mais un projet de livre vaut tous les respects.
Le droit élevé de l'homme violent l'amène à avoir des attentes injustes et déraisonnables, de sorte que la relation tourne autour de ses exigences. Son attitude est : « Tu m'es redevable. » Pour chaque once qu'il donne, il veut [...] â–º Lire la suite