Citation d'Eugène Delacroix sur Mérite, Fête et Oeil

Lire, c'est également découvrir que rien n'est jamais acquis à l'homme.

Enseigner, c'est toujours jouer aux Danaïdes : ce qui est acquis aujourd'hui est perdu demain.

Les fantômes sont mes amis, ils chantent, ils dansent, ils rient. Va venir le grand jour d'Halloween, ils vont tous se réunir sur la colline. C'est la fête des sorcières, éteignez vos lumières ! Les enfants ont des frissons, allumez vos potirons !

A titre personnel, je n'atteins pas le seuil de l'Impôt sur la fortune mais c'est en cumulant mon patrimoine avec celui de mon conjoint qui nous met effectivement au seuil...

Dans cette partie du livre de ma mémoire devant laquelle peu de choses peuvent être lues, il y a un titre qui dit : « Incipit vita nova : Ici commence la nouvelle vie ».

Putain même crier, j'arrive plus. J'en ai marre, j'en peux plus, j'étouffe. J'me sens étriquée dans ce monde. C'est pas possible c'qu'on nous balance en pleine face tous les jours. Depuis qu'j'ai ouvert les yeux sur cette putain d'terre, y [...] â–º Lire la suite

Tout est combat, lutte : seul mérite l'amour et la vie celui qui quotidiennement doit les conquérir.

J'ai fait mon premier gala dans un asile de vieillards. J'ai eu beaucoup de mal à les dérider.

La qualité la plus importante chez un chef, c'est sa capacité à s'attribuer le mérite des choses qui se font toutes seules.

J'ai vu le pire du pire. Je mérite chaque bénédiction que je reçois de la terre.

Notre oeil trouve dans le monde sa raison d'être, et notre esprit s'éclaire en se mesurant avec lui.

La modestie est au mérite ce que les ombres sont aux figures dans un tableau : elle lui donne de la force et du relief.

Celui qui, lorsque le Bouddha protecteur des hommes est là, rend hommage à un autre maître, est pareil à celui qui, sur le bord d'un fleuve aux eaux pures, creuse un puits rempli d'eau saumâtre.

L'homme mérite qu'il se soucie de lui-même car il porte dans son âme les germes de son devenir.

Chaque matin, au réveil, j'expérimente un plaisir suprême qu'aujourd'hui je découvre pour la première fois : celui d'être Salvador Dali, et je me demande, émerveillé, ce que va encore faire de prodigieux aujourd'hui ce Salvador Dali. Et chaque jour, il [...] â–º Lire la suite

Un beau titre est le vrai proxénète d'un livre, et ce que en fait faire le plus prompt débit.

Chaque jour appuie ma conviction du peu de confiance qu'on peut accorder aux apparences du mérite et du bon sens.

Quand il me faut traiter un sujet au titre particulièrement prétentieux, et que je dois me limiter à des observations presque banales, je ne peux m'empêcher de penser à une histoire qui remonte à bien longtemps ; elle me revient [...] â–º Lire la suite

On ne peut parler de la fête de tabaski sans faire allusion à Abraham le père des croyants, l'ami intime de Dieu.

Un homme mérite une seconde chance, mais gardez un oeil sur lui.

Nul doute, j'ai mérité mes ennemis, mais je ne pense pas avoir mérité mes amis.

Chercher la confirmation de son moi dans les yeux d'autrui revient à se regarder dans les miroirs déformants d'une fête foraine.

Ecrire, c'est rendre compte de quelque chose que l'on a vécu et qui mérite de sortir du cadre personnel. En ce sens, beaucoup d'écrivains d'aujourd'hui n'ont aucune légitimité. Ils devraient arrêter d'écrire.

Ce qui constitue au contraire le mérite de notre théorie, c'est le fait non pas d'avoir eu une idée juste, mais d'avoir été naturellement amené à concevoir cette idée.

Le combattant qui trouve la mort au service de Dieu n'a point plus de mérite que celui qui pardonne tout en étant puissant : sa clémence le rend comparable aux anges.

On voit les maux d'autrui d'un autre oeil que les siens.

Rien n'est plus vide qu'une fête foraine déserte.

Je n'aime pas que la technique soit visible, ou même présente. Mon espoir était de jouer la cécité de l'intérieur vers l'extérieur et de convaincre le public, je ne sais comment.

L'art érotique convie l'homme tout entier à la fête de la vie.

M. Trask  : Monsieur Simms...

Charles  : Oui ?

M. Trask  : Vous ne portez pas de lentilles vous ?

Charles  : Non monsieur...

M. Trask  : Vous dont la vision n'est pas défaillante, qui avez-vous vu ?

Charles  : Eh bien... j'ai [...] â–º Lire la suite