Je ne vais pas dans les soirées. A quoi ça sert d'aller dans une soirée quand on ne cherche pas un nouveau petit ami ?
Il y a une interrogation constante pour les femmes écrivains : est-il préférable d'avoir une vie heureuse ou un stock d'intrigues tragiques ?
La fête des mères est un prétexte, car on fête toute l'année sa maman.
Le courage de vivre offre souvent un spectacle moins extraordinaire que le courage du dernier instant. Pourtant, quel magnifique mélange de triomphes et de tragédies.
Combien de choses ont été niées un jour, pour devenir réalité le lendemain !
Qui on épouse n'a pas d'importance. Le lendemain matin on trouvera toujours quelqu'un d'autre.
Je ne pourrai jamais m'amuser les dimanches, car je n'arrive pas à oublier que le lendemain j'ai école.
J'ai l'impression d'une chaîne où chaque spectacle a été la continuité du précédent, parfois pour le préciser, parfois pour le nier.
Le premier mérite d'un tableau est d'être une fête pour l'oeil.
Les fantômes sont mes amis, ils chantent, ils dansent, ils rient. Va venir le grand jour d'Halloween, ils vont tous se réunir sur la colline. C'est la fête des sorcières, éteignez vos lumières ! Les enfants ont des frissons, allumez vos potirons !