Même les rois, doivent mourir quand l'heure est venue.
Il est évident que la concurrence, c'est la liberté. Détruire la liberté d'agir, c'est détruire la possibilité et par suite la faculté de choisir, de juger, de comparer ; c'est tuer l'intelligence, c'est tuer la pensée, c'est tuer l'homme.
La crainte de la mort fait oublier tous les maux, et toutes les incommodités de la vie.
C'est tout autant un crime de tuer l'âme et la raison de vivre de quelqu'un que de lui tuer le corps.
Bouclez-là putain de merde. Laissez moi crever en paix.
La décadence m'attire. Cela suggère un nouveau monde et, pour moi, la lutte de la société entre la vie et la mort est absolument magnifique.
La vie est un éclair mais la mort est sans fin.
Même après ma mort Je ne t'oublierai pas Je ferai s'il le faut Un noeud à mon linceul.
Les militaires font penser à une troupe de théâtre qui répéterait toujours sans jamais jouer. A défaut de tuer des gens, ils tuent le temps.
Comme cela nous semblerait flou, inconsistant et inquiétant une tête de vivant s'il n'y avait pas une tête de mort dedans.