Un politique au chômage est à peu près aussi utile qu'une valise sans poignée.
Le pire de tous les despotismes, c'est le gouvernement militaire.
Les aspirations de l'homme à la liberté doivent être maintenues en pouvoir de se recréer sans cesse ; c'est pourquoi elle doit être conçue non comme état mais comme force vivre entraînant une progression continuelle.
Le gouvernement est au mieux un serviteur pétulant et au pire un maître tyrannique.
La démagogie est à la démocratie ce que la prostitution est à l'amour.
Le socialisme est sans nationalité et il ne peut pas être la propriété d'un seul pays.
Le véritable leadership dans une entreprise doit être son modèle économique et social.
Un État qui doit d'abord faire vivre cinq millions de fonctionnaires et assimilés n'a plus guère les moyens de secourir les autres citoyens.
Le pauvre finit toujours par comprendre que la pauvreté n'est pas un vice. Ce n'est pas un vice mais un état qu'il faut remplir, tout comme un autre. Il a ses règles qu'il faut accepter et ses lois auxquelles il faut obéir pour ne pas être un mauvais pauvre.
Rien n'est plus redouté que le gouvernement national se mêlant de la religion.