Le plus drôle, c'était ce sentiment que n'importe quoi pouvait nous arriver maintenant que nous nous rendions compte que tout nous était arrivé.
Dans un poème ou une nouvelle, on peut décrire des objets parfaitement triviaux dans une langue on ne peut plus banale, mais d'une grande précision, et doter lesdits objets d'une force considérable, et même confondante.
Il arrive un moment où tout à coup vous réalisez que le rire est quelque chose dont vous vous souvenez et que vous étiez celui qui riait.
Après s'être jeté la tête contre les murs, puis avoir éclaté du rire inévitable de la folie, il parvient à ce suprême renoncement : ne pas se tuer.
Comme ça lave, un bon rire !
Les deux caractéristiques essentielles de l'Anglais sont l'humour et le gazon. Sans humour et sans gazon, l'Anglais s'étiole et se fane et devient creux comme un concerto de Schönberg.
Mourir de rire c'est se fendre la pipe sans la casser.
Un dessin réussi prête à rire. Quand il est vraiment réussi, il prête à penser. S'il prête à rire et à penser, alors c'est un excellent dessin.
- C'est quoi cette caisse pourrie ? - C'est une voiture de collection de prestige. Il y en a plus que trois qui roulent dans le monde et moi... J'ai la numéro 4. - Et ça s'appelle comment ? - Une FUEGO !
Tu vas faire la paix en toi, tu pourras alors rire plus fort que ta misère.