Papa rapluieUn papa rapluieQui me fait un abriQuand j'ai peur de la nuitUn papa ratonnerreJe ne sais pas quoi faireQuand il est en colèreUn papa rasolAvec qui je m'envoleQuand il rigoleUn papa tout courtQue je fête en ce jourAvec tout mon amour
Aurait-on inventé l'amour pour faire durer l'exaltation du désir ?
Les femmes se souviennent encore de leur premier baiser longtemps après que les hommes aient oublié le dernier.
On ne «flirte » pas à l'Opéra; on crie très fort des mots incompréhensibles ; si l'on y échange des serments, c'est avec l'assentiment des trombones : logiquement, les nuances changeantes d'un sentiment doivent s'y perdre parmi tant de clameur obligée.
Il faut étaler au théâtre la passion de l'amour dans toute sa force, ou ne pas la traiter.
Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit.
Lorsque vous êtes amoureux l'éternité est encore trop courte.
Plus on étudie l'homme, plus on connaît que l'orgueil est sa passion dominante, et qu'il affecte la grandeur jusque dans la plus triste misère.
Gare aux décapotables ! Ce ne sont pas seulement les âmes qui sont menacées, c'est aussi l'avenir des couples : le vent ne durcit-il pas les lèvres des automobilistes au point que le baiser devient impossible ?
J'aime ce sentiment d'amour, l'effet d'avoir des papillons lorsque vous vous réveillez le matin. C'est spécial.