Journalisme. La névrose du scoop.
La main qui ne presse plus avec joie une main amie laisse tomber l'amitié qu'elle contenait.
Un journaliste m'a demandé quelle était ma formule du bonheur...Je sais que ce n'est pas le travail, c'est peut-être d'avoir des enfants ? Je sais que pour moi, c'est l'amour !
Le pouvoir du journaliste ne se fonde pas sur le droit de poser une question, mais sur celui d'exiger une réponse.
Votre journal annonce mon décès. Comme vous êtes toujours bien informés, cela doit être vrai. Veuillez donc supprimer mon abonnement, devenu inutile.
Je trouve le métier de journaliste dur et chronophage. Et puis c'est un métier où l'on ne vieillit pas bien.
L'acte d'amour et l'acte de poésie sont incompatibles avec la lecture du journal à haute voix.
La réalité expliquée de manière claire et sans tabou, intégrant une pointe d'humour, le journaliste ne cherche pas à endoctriner mais à informer, et c'est ce qui fait la différence.
Ne sois pas pressé d'être en âge d'apitoyer. Conserve le plus longtemps celui d'être craint.
Le dessinateur de presse est comme le baromètre de la démocratie.