La cinquantaine, c'est l'adolescence qui revient de l'autre côté de la vie adulte.
Le goût, c'est la mort de l'art.
Un jour, mon berceau fut placé à côté de celui d'un autre enfant. L'un de nous deux mourut. Depuis, je ne sais pas lequel est vivant : lui ou moi ?
Ce qui est mort l'est à jamais.
La mort baptise aussi.
Je me marierais à nouveau si je trouvais un homme qui avait quinze millions de dollars, qui me céderait la moitié et qui garantirait qu'il serait mort dans l'année.
La fidélité à un mort est une damnation pour une vivante.
En prison, la mort ne fait pas peur. Ce qui fait peur, ce sont les vingt ans à passer dans une cellule.
Je ne veux plus attendre ton coup de téléphone, je ne veux pas m'empêcher de tomber amoureuse, j'veux pouvoir coucher avec qui je veux quand je veux et sans scrupules. J'ai réfléchi, puisque ce que nous vivons n'est pas réel, [...] ► Lire la suite
L'homme a voulu vivre en société, mais aussi depuis qu'elle existe, l'homme emploie une bonne part de son énergie à lutter contre elle.