Le meurtre parfait est de pousser l'autre au suicide...
Tôt ou tard, quand il y a un crime à cacher, on parle trop.
On pardonne les crimes individuels, mais non la participation à un crime collectif.
Tout est dans la forme, et il n'y a entre le crime et l'innocence que l'épaisseur d'une feuille de papier timbré.
Le plus coupable parmi les humains n'est pas toujours celui qui fait mal. C'est celui qui connaît le bien et refuse d'y mourir.
On confond aujourd'hui le fait et le droit. Les faits deviennent normatifs. Si tout fait de culture est justifié par le simple fait qu'il existe, on pourrait dire alors que le crime et le viol sont justifiés puisqu'ils existent.
D'après mon intuition je pense que cette histoire de consentement viennent d'une grande souffrance d'employées de justice qui ont subi un viol à un âge mineur et qui au gré de mettre en place des condamnations voudraient se sentir apaisées et délivrées de leur sort, de leur cauchemar, c'est évident !
La vie est assez énigmatique déjà, sans qu'on entreprenne le débrouillement du chaos métaphysique dans la cervelle des commis aux écritures.
L'erreur, le crime et l'adultère : voilà tout ce qui rend les hommes intéressants.
Il y a crime contre l'humanité lorsqu'on tue quelqu'un sous prétexte qu'il est né.