C'est par l'étude de son âme que l'homme est d'abord averti de sa grandeur.
Il est des gens trop haut placés par la dignité de leur vie, par la noblesse de leur caractère, par la nature même des fonctions qu'ils exercent, pour que la moindre éclaboussure atteigne seulement jusqu'à leurs semelles.
La plus grande décadence dans ce monde est de perdre son enthousiasme.
Mange selon la hauteur de ton sac à provisions, marche selon la largeur de ton pas.
Dans ce singulier pays, où les hommes ne sont certainement pas à la hauteur des institutions, tout se fait "carrément", les villes, les maisons et les sottises.
Un homme sans noblesse ne peut avoir de bonté ; il ne peut avoir que la bonne nature.
La pauvreté n'ôte de noblesse à personne, la richesse oui.
Les lieux réservés à la peine des hommes ont une noblesse qui force le respect.
Rémunérer les femmes à la même hauteur que les hommes reviendrait instantanément à placer entre leurs mains une part phénoménale de la richesse mondiale. Or tout le monde sait que la richesse, c'est le pouvoir.
Les rois sont ambitieux. La noblesse hautaine. Le peuple tumultueux et ingouvernable.