Le roman policier peut être en prise directe sur la vie, permettre à un auteur de traiter sous forme de roman de grandes affaires criminelles mettant en cause de hauts personnages, d'en montrer les implications politiques et policières.
Le problème moral des représailles - A-t-on le droit de tuer un homme, fût-ce un ennemi, quand on sait que cet acte entraînera automatiquement la mort d'une cinquantaine d'innocents ? - n'a jamais été résolu.
Ce n'est pas la mort que je crains, c'est de mourir.
La mort rend tout d'un intérêt énorme, donne sa valeur à tout, ajoute une dimension à tout.
Être différent paie, quoi qu'il en soit. Être soi-même et vivre honnêtement laissera toujours un héritage d'authenticité.
Qu'il s'agisse de vivre ou de mourir, l'homme est un fardeau pour l'homme.
L'homme qui, du désert connaît le secret, ne peut vieillir. La mort viendra, tournera autour de la dune puis repartira.
Ce qui me reste à vivre ne vaut pas ce que j'ai vécu.
Je ne veux plus attendre ton coup de téléphone, je ne veux pas m'empêcher de tomber amoureuse, j'veux pouvoir coucher avec qui je veux quand je veux et sans scrupules. J'ai réfléchi, puisque ce que nous vivons n'est pas réel, [...] ► Lire la suite
Certains devraient vivre une deuxième fois, comme récompense ; d'autres, comme châtiment.