On se demande parfois pourquoi la mémoire s'acharne à retenir certaines histoires aussi anodines que banales.
Il y a dans le cerveau des femmes une case de moins, et dans leur coeur une fibre de plus que chez les hommes.
Je suis un touche à tout, un chineur de la vie, des choses qui sont les tiroirs de mon esprit, de mon cerveau et qui s'ouvrent et se ferment au fil des instants.
La mémoire fait à notre place des choix qui façonnent nos personnalités et font de chacun de nous le reflet de ce que son cerveau a emmagasiné.
Les mots font partie de nous plus que les nerfs. Nous ne connaissons notre cerveau que par ouï-dire.
Le souvenir d'un amour révolu, lorsqu'il demeure fortement dans la mémoire, n'est pas moins absorbant que ne l'était cet amour même.
Une belle âme ne tient jamais compte de ses bienfaits, l'oubli en augmente le mérite, et le souvenir en diminue la gloire.
Ton souvenir est comme un livre bien-aimé, Qu'on lit sans cesse, et qui n'est jamais refermé.
Nous localisons dans le corps d'une personne toutes les possibilités de sa vie, le souvenir des êtres qu'elle connaît et qu'elle vient de quitter, ou s'en va rejoindre.
Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible.