L'inacceptable est à présent le fait que tout finisse avec le temps par s'accepter.
La première fois c'est une erreur, la seconde c'est qu'on le fait exprès.
A chaque minute nous sommes écrasés par l'idée et la sensation du temps. Et il n'y a que deux moyens pour échapper à ce cauchemar : le plaisir et le travail. Le plaisir nous use. Le travail nous fortifie. Choisissons.
La vie n'est qu'une ombre qui passe, un pauvre acteur qui s'agite et parade une heure sur la scène, puis on ne l'entend plus.
Un homme mérite une seconde chance, mais gardez un oeil sur lui.
- Tu n'aurais pas dû partir une nouvelle fois. - Tu rigoles, hein ? C'est la seconde fois que j'essaie de te tuer. - Disons, aucune amitié n'est parfaite.
Se séparer sans peine ni regret et à la dernière minute aimer.
C'était triste. Mais on a compris que les choses dépendent de notre volonté, qu'elles existent parce qu'on le veut bien, parce qu'on choisit à chaque seconde de ne pas les détruire. Elles existent si peu qu'on peut dire que rien n'existe.
La minute où tu arrêtes de faire des erreurs est la minute où tu arrêtes d'apprendre.
Être écrivain, c'est découvrir patiemment, au fil des années, la seconde personne, cachée, qui vit en nous.