Un mot est un oiseau au milieu d'une page. C'est l'infini.
L'homme, comme le perroquet du persil, est friand des idées qui le tuent.
Les grands coeurs sont comme les ruches trop grandes que le miel ne peut remplir et qui deviennent le nid de vipères.
C'est l'abbé qui fait l'église ; C'est le roi qui fait la tour ; Qui fait l'hiver ? C'est la bise. Qui fait le nid ? C'est l'amour.
Un aigle peut lire un journal à 1400 mètres de distance. Chuck Norris peut tourner la page.
Chaque oiseau trouve son nid beau.
Le guilledou est un oiseau. C'est un vulgaire petit moineau des champs qu'on trouve du côté de la Saintonge. Il faut dire qu'il est particulièrement malin et que peu d'oiseaux au monde lui en remontreraient en matière d'astuce et de roublardise.
La solitude est le nid des pensées.
Des Alpes aux Pyrénées et la main dans la main.Poètes, relevons-donc le vieux parler roman !C'est là le signe de famille,C'est là le sacrement qui unit le fils aux aïeux.L'homme à la terre ! C'est là le filQui tient le nid dans la ramée.
La mante religieuse attrape la cigale, mais le moineau guette derrière.