La fierté s'accompagne toujours d'intolérance.
L'égoïsme est souvent la marque de la vanité et de la peur.
Il y a un grand sentiment d'accomplissement, de testostérone, de plaisir, de pouvoir vivre sa masculinité lorsque vous jouez un rôle d'action ou d'action-aventure ou un vrai rôle de dur à cuire.
Toute beauté est une joie éternelle.
Hommes et citoyens, nous avons dit plus d'une fois dans notre orgueil : -Le XVIIIe siècle a proclamé le droit de l'homme ; le XIXe proclamera le droit de la femme ;-mais il faut l'avouer, citoyens, nous ne nous sommes point hâtés...
A terre, même dans les moments les plus sombres, la vie recommence toujours le lendemain. En mer, lors d'une tempête, on éprouve un sentiment de piège pour l'éternité.
Le terrorisme vise à créer des amalgames et à fédérer des sensibilités différentes, en s'appuyant sur des sympathies, un sentiment d'humiliation, de rejet.
Nous avons toujours une ancre qui tient ferme aussi longtemps qu'on ne la brise pas soi-même : c'est le sentiment du devoir.
L'amour, c'est l'ennui d'être seul, la joie d'être à deux, la peur d'être à trois.
Esclave volontaire de codes vestimentaires grotesque, la femme perd toute dignité et s'enlaidit. En essayant de devenir papillon, la chenille se transforme en ver de terre !