L'ironie est la bravoure des faibles et la lâcheté des forts.
La raillerie est l'éclair de la calomnie.
La satire est la maladie de l'art.
Avant de vous quitter, je vous souhaite bonne chance, à chacune et à chacun d'entre vous. Bonne chance du fond du coeur, sans amertume pour les uns, et avec une chaude reconnaissance pour les autres.
La moquerie est la fumée des coeurs petits.
Je venais de découvrir la vertu du scandale et, surtout, une arme redoutable : la dérision. Comme la ruse, la dérision est une arme de faible; les puissants sont rarement drôles: ils n'en ont pas besoin. Mais, même minuscule, comme [...] ► Lire la suite
L'emportement de la satire est inutile : il suffit de montrer les choses telles qu'elles sont. Elles sont assez ridicules par elles-mêmes.
La dérision est peut-être un rempart contre la solitude. En effet, les moqueurs veulent un public, et celui qui en est la victime est toujours seul.
Le rêve égalitaire qui a présidé au marxisme a pris un cours ironique : la lutte des classes n'en a conçu qu'une seule, celle des miséreux.
J'me sens d'humeur ironique comme un gros porc en survet.