Citations d'Abbé

Un sourire coûte moins cher que l'électricité, mais donne autant de lumière.

Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine.
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d'une guerre.
Je continuerai [...] ► Lire la suite

Le plus grand échec c'est de ne pas avoir le courage d'oser.

"L'enfer, c'est les autres", écrivait Sartre. Je suis intimement convaincu du contraire. L'enfer, c'est soi-même coupé des autres.

La responsabilité de chacun implique deux actes : vouloir savoir et oser dire.

On n'est jamais heureux que dans le bonheur qu'on donne. Donner, c'est recevoir.

Une mère aimante pardonne toujours à son enfant.

La maladie la plus constante et la plus mortelle, mais aussi la plus méconnue de toute société, est l'indifférence.

Le contraire de la misère ce n'est pas la richesse. Le contraire de la misère, c'est le partage.

Alors je dis : la vie c'est peu de temps donné à des libertés, pour, si tu veux, apprendre à aimer, avec la certitude de devoir lutter contre le mal.

La violence, elle n'est pas que dans les coups, elle est dans les situations établies, existantes, qu'on refuse de remettre en question, qu'on refuse de changer.

Avec tout l'argent du monde, on ne fait pas des hommes, mais avec des hommes et qui aiment, on fait tout.

Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques. On ne pleure pas devant les chiffres.

L'injustice, ce n'est pas l'inégalité, c'est le non partage.

Il ne faut pas attendre d'être parfait pour commencer quelque chose de bien.

Celui qui se croit supérieur aux autres a nécessairement meilleure opinion de lui-même que d'eux.

Nous naissons et nous mourons : nous naissons pour mourir, parce que nous commençons par mourir pour naître.

C'est quand chacun de nous attend que l'autre commence qu'il ne se passe rien.

Un sourire coûte moins cher que l'électricité, mais il donne autant de lumière.

Chaque fois que l'on refuse 1 milliard pour le logement, c'est 10 milliards que l'on prépare pour les tribunaux, les prisons, les asiles de fous.

Vivre, c'est apprendre à aimer.

La première règle avant d'agir consiste à se mettre à la place de l'autre. Nulle vraie recherche du bien commun ne sera possible hors de là.

La sérénité, c'est l'acceptation de soi-même et de ce qui est.

Quel est l'enseignement essentiel que doit recevoir l'enfant sinon celui qui fera qu'il possède la connaissance de la réalité humaine universelle ?

L'honneur d'un pays ne réside pas dans la beauté de ses monuments mais bien dans le fait que tous ses habitants aient un toit.

La vie est plus belle que la prudence.

Aujourd'hui avec la montée préoccupante de l'extrême-droite et des racismes, j'ai le sentiment que nous sommes déjà en guerre.

Rempli de sagesse, doué d'une beauté parfaite, ne cherchez pas ce qui est au-dessus de vous, et ne scrutez pas des mystères plus forts que vous.

La Terre ne trompe jamais longtemps : ses avarices, tôt ou tard, écrasent les tentatives de l'individualiste, tout comme ses prodigalités bientôt comblent ceux qui la respectent.

Le rôle de tout être humain, c'est de faire la preuve que le monde n'est pas sans raison.

Une civilisation se mesure à la qualité des objets de colère qu'elle propose à sa jeunesse.

On m'a trop souvent dit qu'un hymne national faisait partie de notre culture, de notre histoire et qu'il n'était pas possible de le changer. Je m'inscris en faux contre cette idée. Pourquoi ne pourrions-nous pas le faire ? [...] Aujourd'hui [...] ► Lire la suite

Le pouvoir est aveugle, les détresses les plus accablantes sont muettes... Comment faire se rejoindre ceux qui savent et ceux qui peuvent ?

Les regrets sont vains lorsqu'il est trop tard. La digue est rompue, les flots passent, ils brassent des boues. Ce qui compte, c'est demain.

Il faut que la voix des hommes sans voix empêche les puissants de dormir.

L'amitié, c'est ce qui vient au coeur quand on fait ensemble des choses belles et difficiles.

L'indignation pourrait avoir beau jeu de nous donner bonne conscience. Pourtant, elle ne dispense pas de l'action.

Pour avoir le droit de parler, il faut avoir les mains propres. Il faut avoir eu le courage de reconnaître, de réagir si on s'est trompé.

La faiblesse de la démocratie, c'est également, aux heures difficiles, de ne pouvoir prendre des décisions qui font mal à tout le monde.

On ne donne pas ce qu'on possède, on ne possède que ce qu'on est capable de donner ; sinon, on est possédé.

On ne peut pas, sous prétexte qu'il est impossible de tout faire en un jour, ne rien faire du tout.

Aimer, c'est quand toi, l'autre, tu es heureux, alors je suis heureux aussi.
Et quand toi, l'autre, tu es malheureux, alors j'ai mal aussi.

L'espérance, c'est croire que la vie a un sens.

Il y a une loi avant les lois : pour venir en aide à un humain sans toit, sans pain, privé de soins, il faut braver toutes les lois.

Nul n'est plus misérable que celui qui sait et ne dit pas, si ce n'est celui qui dit et ne fait pas.

Tous deux, nous partageons un amour entier, attentionné et sincère, puisque rien n'est doux, rien n'est paisible pour l'autre, s'il n'est profitable aux deux.

Souviens-toi d'aimer !

L'amitié nous fait partager de grands moments de bonheur, mais aussi d'immenses peines. L'important est de partager, de s'écouter, de se soutenir.

Il y aura chaque hiver le "scandale des sans-logis" et chaque été la "violence des banlieues".

Quand tu n'en peux plus d'aimer, espère. Quand tu n'en peux plus d'espérer, crois.