Réplique La dernière maison sur la gauche sur Mort, Mon et Lui

L'homme, quoiqu'on en dise, est le maître de son destin. De ce qu'on lui a donné, il peut toujours faire quelque chose.

Tout est bon pour ceux qui savent observer les drames de la vie.

La méditation de la mort est hypocrite puisque c'est une manière morose de vivre.

L'art est encore la seule forme supportable de la vie ; la plus grande jouissance, et celle qui s'épuise le moins vite.

is comme si l'instant le plus important de ta vie était le moment que tu vis maintenant.

La Mort est la soupape de la Vie.

Je ne veux pas, comme la plupart des gens, avoir vécu pour rien. Je veux être utile ou agréable aux gens qui vivent autour de moi et qui ne me connaissent pourtant pas, je veux continuer à vivre, même après [...] â–º Lire la suite

Je crois que plus la science est étudiée à fond, plus elle nous éloigne de tout ce qui est comparable à l'athéisme.

L'amour qui ne sert qu'à dominer les êtres trouve en lui-même sa récompense.

Il faut être trois pour apprécier une bonne histoire : un pour la raconter bien, un pour la goûter et un pour ne pas la comprendre. Car le plaisir des deux premiers est doublé par l'incompréhension du troisième.

On peut être intelligent toute sa vie et stupide un instant.

Une vie sans amour, c'est une vie sans soleil.

Le respect de la vie concerne celle qui est là, pas celle qui pourrait être. C'est pourquoi l'avortement, comme la contraception, sont non seulement des droits essentiels, mais encore des moyens de respecter profondément la vie en lui évitant d'apparaître dans des conditions qui lui seraient défavorables.

La tragédie russe a ceci de spécifique que d'abord elle suscite le rire, ensuite l'horreur, et enfin une indifférence obtuse.

Le problème avec Yves Saint Laurent était que c'était un homme qui comprenait son époque mieux que quiconque, mais il ne l'aimait pas. De vrais artistes vivent leur propre vie en parallèle. C'est l'artiste qui transforme son époque.

Ainsi, jusque dans notre propre individu, l'individualité nous échappe. Nous vivons dans une zone mitoyenne entre les choses et nous, extérieurement aux choses, extérieurement aussi à nous-mêmes.

Qui ne vit que pour soi est mort pour les autres.

Coucher avec une fille, ce n'est que lui faire ce qui lui plaît : de là à lui faire faire ce que nous voulons, il y a souvent bien loin.

Vivre avec l'espoir est une vie qui en vaut bien d'autres.

On a bravé tant de tempêtes qu'on ne s'est même pas vu grandir. Dis-moi que la vie est encore plus belle quand on n'a plus 20 ans.

Quel orgueil d'être seul, les mains contre son front, À noter des vers doux comme un accord de lyre Et songeant à la mort prochaine, de se dire : Peut-être que j'écris des choses qui vivront !

Toute personne ayant des ambitions artistiques essaie toujours de se reconnecter avec la façon dont elle voyait les choses étant enfant.

L'art conjugal, c'est de trouver la distance et l'aération qui permettent de faire vie qui dure entre époux, c'est surtout de découvrir le moyen de rétablir la paix et l'affection après les querelles et les satiétés réciproques.

La mort n'est pas une fin. C'est un commencement. Elle est à l'origine de toute chose : nous venons de la mort.

A quoi sert la pudeur ? Elle sert à paraître plus belle quand on est belle et à paraître moins laide quand on l'est.

Une vie inutile est une mort anticipé.

La colère est comme la glace : elle fond à la première chaleur.

Si vous ne voulez pas que la maison soit construite, cachez les clous et les bois. Si vous ne voulez pas qu'un homme se rende malheureux avec la politique, n'allez pas lui cassez la tête en lui proposant deux points de vue sur une question, proposez-lui un seul.

Un homme seul ne peut rien, il lui faut l'appui de ses semblables pour arriver là où il doit aller.

Il y a un temps pour le diable et un temps pour le Bon Dieu.