Citation de Stendhal sur Femmes, Abandonne et Ans

La bourgeoise c'est la plus frustrée de toute les femmes mariées.

Tout a sa beauté mais tout le monde ne la voit pas. Pour la voir, il suffit d'imaginer à quel point cela pourrait être pire.

D'autres femmes me considéraient comme une rivale. Et cela m'a fait beaucoup de peine.

Les femmes ont plus de jugement que les hommes, en général. Peut-être parce qu'elles ont plus de temps pour réfléchir, se trouvant rarement dans le feu de l'action.

La beauté est une éloquence muette.

Mieux vaut vivre un jour comme un lion que cent ans comme un mouton.

De savoir si peu m'abaisser, céder dans les rencontres, supporter un mépris...

Il est aisé de faire perdre sa foi à un homme, mais il est difficile, ensuite de le convertir à une autre.

Même si je le relance, je ne pourrais toujours pas gagner. Laisse-moi juste perdre avec style.

C'est grand pitié quand beauté faut à cul de bonne volonté.

Si coucher avec une fille de 15 ans est un détournement de mineure, coucher avec une femme de plus de 70 ans est une violation de sépulture.

Les femmes n'expriment pas le pouvoir, elles ne l'incarnent pas. C'est comme ça. Le pouvoir s'évapore quand elles arrivent.

Quelque libertin et quelque abandonné qu'il puisse être, il y a toujours de secrets reproches de la conscience qui le troublent.

Très peu de gens ont le courage de se perdre vraiment.

J'ai de nombreuses facettes ! Je sais bien que depuis trente ans je me ressemble, mais, en vérité, cela cache une multitude de personnages, c'est sans doute pour cela que je suis actrice.

Là, poursuivi d'une populace animée, abandonné aux plus indignes traitements d'une insolente et brutale soldatesque.

Le danger avec l'affaire Strauss-Kahn, c'est qu'on associe l'affaire du Coral, où un enfant de sept ans est violé et tué, avec Gabriel Matzneff, qui a des histoires avec des jeunes femmes de 14, 15,16 ans. La pédophilie, c'est la pédophilie, le goût des femmes, c'est le goût des femmes.

La beauté peut venir des endroits les plus étranges, même les endroits les plus dégoûtants.

D'abord, peut-on aimer à vingt ans ? Bien sûr qu'on peut aimer, mais à condition d'avoir lu La Princesse de Clèves, La Chartreuse de Parme, Le Lys dans la vallée ou Anna Karenine, d'avoir été formé, éduqué, habitué ou conditionné à l'amour.

Ma notion d'une femme à 40 ans est qu'un homme devrait être capable de la changer, comme un billet de banque, pour deux de 20 ans.

La beauté est un jardin sauvage...

Les femmes ne sont jamais désarmées par les compliments. Les hommes le sont toujours. Telle est la différence entre les sexes.

Il y a 50 ans que le peuple et les intellectuels sont séparés. Il faut qu'ils ne fassent plus qu'un.

Les femmes ont raison de se rebeller contre les lois parce que nous les avons faites sans elles.

Ce sont les femmes de feu qui quittent le plus volontiers leurs foyers.

On peut imaginer une humanité composée exclusivement de femmes ; on n'en saurait imaginer une qui ne comptât que des hommes.

La beauté réside avant tout dans la personnalité et non dans la peau.

Dans une carrière, quand vous atteignez 40 ans et que vous avez fait beaucoup de choses et d'autres, vous voulez essayer de nouvelles choses. Je me sens comme ça aussi en tant que réalisateur.

Quelle est la pensée la plus insupportable : celle des vingt ans qu'on n'a plus ou celle des vingt ans qu'on aura plus ?

Les femmes qui nous aiment pour notre argent sont bien agréables : on sait au moins ce qu'il faut faire pour les garder.