Citation de Georges Courteline sur Femme, Bien et Gens

Donne ton amour à ta femme, mais ton secret à ta mère ou à ta soeur.

Rien ne contribue plus à l'attachement mutuel que la faculté du divorce : un mari et une femme sont portés à soutenir patiemment les peines domestiques, sachant qu'ils sont maîtres de les faire finir.

Le statut professionnel d'un homme semble être le meilleur indicateur de la beauté de la femme qu'il épousera.

La joie réelle n'est autre, en effet, qu'une vision lucide, mais assumée, de la condition humaine ; la tristesse en est la même vision mais consternée. La joie est ainsi ce que Spinoza pourrait appeler un "mode actif" de la tristesse, et réciproquement la tristesse peut être décrite comme "mode passif" de la joie.

Faire du commerce sans publicité, c'est comme faire de l'oeil à une femme dans l'obscurité. Vous savez ce que vous faites, mais personne d'autre ne le sait.

- Vous trompez votre femme ? - Je ne la trompe pas puisqu'elle le sait !

Ma mère et mon père ont toujours été très pudiques. A l'époque, ils avaient les défauts de notre métier. Ils pensaient surtout à leur boulot. De plus ma mère a écrit dans ses mémoires que je n'étais pas un enfant désiré. Je suis un garçon du hasard.

Les clameurs d'une femme jalouse sont un poison plus mortel que la morsure d'un chien enragé.

Il prêtait de temps en temps des mots spirituels à sa femme pour qu'il ait une petite raison de ne pas s'en séparer.

Une femme épanouie vit au présent ce qu'elle a rêvé jadis.

Jamais une femme n'a le pouvoir d'aimer comme lorsqu'elle commence à vieillir.

J'ai grandi avec deux images de la femme : la vierge et la putain.

Construis pour toi ta propre maison et ne pense pas que celle de ton père et de ta mère te revient de droit.

Bien plus que la paresse, c'est la caresse qui est la mère de certains vices et de beaucoup de fils.

Celui qui, par hasard, a une honnête femme vit heureux avec un fléau.

Quand les gens me demandent, que puis-je faire? Comment puis-je aider? Je leur dirais ce que ma mère m'a dit une fois: «fais confiance à tes instincts. Donne ce que tu peux, qu'il s'agisse de l'argent, du temps, des ressources, de ton nom, de ta célébrité ou d'un acte inspirant, d'une chanson ou d'un mot.

Il y a deux manières de prendre une femme : par la taille et par le sentiment.

J'aime le sentiment d'être dominé. Cela me rend réellement convaincu par opposition à un défi.

Ma mère m'a donné un conseil qui m'a marqué. Elle a dit n'oublie pas d'où tu viens.

C'est bien le fait d'une femme qui commande de se féliciter d'un bonheur avant qu'il apparaisse. La femme trop crédule en ses désirs se repaît vite de chimères; mais les nouvelles qu'elle proclame périssent aussi vite.

Il faut que l'homme soit fort, audacieux, entreprenant ; que la femme soit faible, timide, dissimulée. Telle est la loi de la nature.

Tandis que l'homme devient un être humain par l'affirmation de lui-même, la femme le devient en renonçant à elle-même.

Ruisselant de perles ou d'ordures, le vêtement de la femme n'est pas un voile ordinaire. C'est un symbole très mystique de l'impénétrable Sagesse où l'Amour futur s'est enseveli.

L'homme qui entre dans le cabinet de toilette de sa femme est un philosophe ou un imbécile.

Ma définition de la beauté est sans règles. Ce peut être le visage d'une belle femme de 90 ans pleine d'histoires et d'émotions. La beauté est ce que les yeux de quelqu'un communiquent.

Les femmes : vous les voyez fumer - et toujours les plus gros cigares.

Le cannabis s'apparente de moins en moins à une drogue douce, et le cliché du fumeur de joint baba cool sympa des années 70 est totalement dépassé.

C'est si facile à une femme de se faire aimer ! Nul besoin d'être bien jeune ni bien jolie. Il n'y a qu'à tendre la main d'une certaine façon et l'homme y met tout de suite son coeur.

Le poussin qui reste à côté de sa mère reçoit la cuisse de la sauterelle.

Il est facile de voir que le moral de l'amour est un sentiment factice ; né de l'usage de la société.