Citation de Guy Konopnicki sur Lui, Classe et Déranger

On ne peut pas "poser" une question car il est dans la nature de celle-ci d'être volatile et volubile et dans son rôle de frapper et de rebondir.

Dans le monde des affaires, il est inutile d'avoir des idées originales à moins de pouvoir également vendre ce que vous créez. La direction est incapable de reconnaître une bonne idée sauf si elle lui est présentée par un bon vendeur.

C'est un supplice pour l'homme qu'on lui résiste. C'en est un bien plus grand pour la femme que de résister.

Quand une fille est jolie, il ne faut qu'un instant pour la trouver telle.

Jean fait la course à l'Oscar, je ne vais pas lui demander de faire les courses.

Les larmes du monde sont immuables. Pour chacun qui se met à pleurer, quelque part un autre s'arrête. Il en va de même du rire.

L'homme a assez de raisons objectives pour s'attacher à la sauvegarde du monde sauvage. Mais la nature ne sera en définitive sauvée que par notre coeur. Elle ne sera préservée que si l'homme lui manifeste un peu d'amour.

La vie est comme ça et rien n'y changera. Il faut jouer avec elle jusqu'au jour où elle décide de jouer avec toi.

Comme les mythes et les suppositoires, aphorismes et maximes ont leur temps. Il faut s'en pénétrer avant qu'ils ne se défraîchissent.

Il avait raison Van Gogh, on peut vivre pour l'infini, ne se satisfaire que d'infini, il y a assez d'infini sur la terre et dans les sphères pour rassasier mille grands génies.

Partout où il n'y aura rien, lisez que je vous aime.

On imagine qu'un enfant intuitif comme Lynch ait pu ressentir le profond changement qui transformait peu à peu l'Amérique. En même temps, il restait tout à fait ancré dans son lieu de vie et dans son époque ; il était [...] â–º Lire la suite

A qui a tout donné, il reste encore la liberté d'aimer ou de trahir. C'est là, pour chacun de nous, le dernier retranchement et la dernière issue.

Aujourd'hui encore l'Amérique se pense elle-même comme un lieu où les Européens peuvent se réfugier et trouver la liberté.

Ou le mal certain est irrémédiable, s'il est connu à temps, il peut être réparé.

Je crois, j'espère, que la Nouvelle Année apportera un message de rédemption pour tous les peuples : bonne année à vous, à vous tous, bonne année aux Israéliens et aux Palestiniens, bonne année à tous nos amis américains qui désirent également la paix et nous aident à la réaliser.

Le théâtre, c'est le souffleur. D'abord, il n'y a que lui qui sait toute la pièce !

En amour, il ne faut jamais baisser les bras...

Un canadien comme il faut doit être bilingue s'il est Canadien français et impérialiste s'il est Anglais.

Tromper un être, mentir, c'est avoir sur lui une supériorité, c'est se moquer.

Je souffre tellement dans cette vie. C'est ce que le public sent quand je chante, c'est pourquoi il pleure. Les gens qui n'ont rien senti dans cette vie ne peuvent pas chanter.

Il y a des femmes honnêtes, comme il y a des vocations manquées.

Je te rencontre.

Je me souviens de toi.

Qui es-tu ?

Tu me tues.

Tu me fais du bien.

Comment me serais-je doutée que cette ville était faite à la taille de l'amour ?

Comment me serais-je doutée que tu étais fait [...] â–º Lire la suite

Dans le désarroi du chagrin, il est vain de chercher une réponse à ses questions.

Quand, en ce monde, un homme a quelque chose à dire, la difficulté n'est pas de le lui faire dire, mais de l'empêcher de le dire trop souvent.

Le bonheur est comme un papillon : il vole sans jamais regarder en arrière.

Imaginez l'émerveillement de l'homme s'il voyait aujourd'hui la première rose ! Il ne saurait quel nom extraordinaire lui donner.

Un financier digne de ce nom ne va pas à la Bourse, il y "vole".

L'ancien libéralisme s'opposait à l'état en tant qu'il était l'instance privilégiée du politique. Le néolibéralisme, exploitant la crise que traverse aujourd'hui l'État-nation, vise plutôt à achever la dépolitisation de l'État pour en faire un instrument au service de l'économie. Il [...] â–º Lire la suite

L'avarice est comme le feu, plus on y met de bois, plus il brûle.