Citation de Jean Baudrillard sur Jalousie, Jugement et Encore

Le moment est peut-être venu de formuler un code moral qui régirait nos relations avec les grandes créatures marines ainsi qu'avec celles qui sont sur la terre ferme. Mon souhait est que cela se réalise.

La paix est le produit de la justice et de l'amour.

J'ai décidé de m'en tenir à l'amour. La haine est un fardeau trop lourd à porter.

Je m'appelle Frank, mais c'est pas ça qui importe. Ce qui importe c'est cette question, vous qui êtes-vous ? L'Amérique est devenu un pays cruel brutal et malveillant. On récompense les gens les plus superficiels, les plus débiles, les plus méchants [...] â–º Lire la suite

Quand germe une pensée de guerre, opposez-lui une plus forte pensée de paix. une pensée de haine doit être neutralisée par une plus puissante pensée d'amour.

L'amour, l'amitié, l'estime ne forment pas des liens aussi solides que la haine commune.

La vie est tenace, et persiste le plus longtemps quand elle est l'objet de la haine la plus profonde.

Je te ferai bouffer tes rêves, jaloux de la chance que tu as d'en avoir encore.

L'école prend 13 ans, parce que c'est le temps qu'il faut pour briser le moral d'un enfant.

Jamais il ne faut découvrir son aversion ni à ses envieux ni à ses ennemis.

Qu'on se le dise la jalousie est un zèle égoïste et malheureux.

L'arc moral de l'univers plie au coude de la justice.

La justice peut marcher toute seule ; l'injustice a besoin de béquilles, d'arguments.

Je sens qu'il faut moucher la chandelle de la haine et allumer celle du coeur.

Ne vous imaginez pas arriver à améliorer quelqu'un en soulignant sans arrêt ses imperfections, en le traitant d'incapable, de menteur, de malhonnête, car à ce moment-là, il ne fait plus d'efforts. Puisque vous vous êtes déjà formé sur lui une opinion définitive, pourquoi ferait-il des efforts ?

Le jugement des terroristes du 13-Novembre est mené selon les règles du droit. C'est bien. J'ajouterai qu'il ne saurait en être autrement dans une démocratie, quelle que soit l'horreur du crime.

Dès son berceau, l'enfant est secoué par les orages secrets de la haine et de l'amour.

Il ne faut pas toujours voir le côté négatif des choses, il faut voir les bons côtés.

Le jugement d'un seul n'est pas la loi de tous.

Les abolitionnistes mettent la morale au premier plan de leurs préoccupations. Ce sont des déontologistes : pour eux, une action ne doit pas être décidée qu'en fonction du fondement moral qui lui est propre. Or tuer un animal pour le manger est une mauvaise action, car elle est moralement répréhensible.

La haine est un sentiment facile ; l'amour c'est plus compliqué, il faut vaincre ses défenses et se laisser aller.

Qui sème la haine récolte la violence, la vengeance, la mort...

Si la haine n'était pas dans le monde, toutes choses n'en feraient qu'une.

C'est à la souffrance qu'il faut déclarer la guerre, et vous parlez un langage universel, lorsque vous criez pitié et justice pour les bêtes.

L'arc de l'univers moral peut s'incliner vers la justice, mais il ne s'incline pas tout seul.

L'amour et la haine sont des parents consanguins.

Le monde physique paraît l'ouvrage d'un être puissant et bon, qui a été obligé d'abandonner à un être malfaisant l'exécution d'une partie de son plan. Mais le monde moral paraît être le produit des caprices d'un diable devenu fou.

Si la justice ne se vend pas, elle coûte cher, et il faut être bien riche pour obtenir gain de cause.

La paix n'est pas simplement l'absence de conflit, mais l'existence de la justice pour tous.

Lorsque notre haine est trop vive, elle nous met au-dessous de ceux que nous haïssons.