Citation de Gilbert Langlois sur Besoin, Perdre et Sentiments

Les sentiments personnels ne doivent pas compter, quand il s'agit de la patrie, de la vie nationale.

Ceux qui ont beaucoup à espérer et rien à perdre seront toujours dangereux.

Nous envisageons un redressement dans cinq ans. En effet, dans cinq ans, nous serons considérés comme un pays sous-développé auquel viendront en aide les pays industrialisés.

L'intuition est l'un de nos plus grands cadeaux. C'est un sixième sens que nous avons tous - nous avons juste besoin d'apprendre à l'exploiter et à lui faire confiance.

Tu sais j'ai rarement eu des conversations nocturnes aussi intéressantes avec quelqu'un, c'est un vrai bouleversement pour moi. Et quand je suis dans ces états d'échange intellectuels profonds j'ai besoin de prendre l'air pour pouvoir suivre par la suite si [...] â–º Lire la suite

Les gens heureux n'ont pas besoin de beaucoup pour être heureux.

Si elles n'ont pas besoin d'argent, les femmes qui partent ne reviennent pas.

Les hommes sont les êtres les plus faibles du monde parce qu'ils sont intelligents. L'intelligence est exactement l'art de perdre de vue.

C'est le commencement, le monde est à repeindre, l'herbe veut être verte, elle a besoin de mes regards.

Il n'y a pas à dire, l'homme et la femme sont bien faits pour aller se compléter : lui, il désire avant d'aimer ; et elle, elle a besoin d'aimer avant de désirer.

La publicité est à la consommation ce que l'érotisme est à l'amour. Le plaisir ne suit pas toujours...

Si vous pensez trop à la course, vous risquez de la perdre un peu.

Le véritable amour n'a jamais besoin d'être soutenu par de grands principes.

La bonne qualité des choses offertes en réduit le prix à une insignifiante formalité.

Le pouvoir a plus besoin des conseils des sages que les sages de la faveur du pouvoir.

Demander des conseils financiers à un planificateur financier, c'est comme demander à un coiffeur si vous avez besoin d'une coupe de cheveux.

De la provocation je crois qu'on en a besoin pour sortir un peu de la masse.

Notre coeur périssable, notre imagination si mouvante s'attachent à ce coteau d'éternité. Nos sentiments y rejoignent ceux de nos prédécesseurs, s'en accroissent et croient y trouver une sorte de perpétuité.

Quand on a besoin de bras les secours en paroles ne servent de rien.

La difficulté est à la réalisation des choses ce que le mur est au militaire qui éprouve le besoin de sortir sans permission !

Il est très facile de se perdre dans le monde profane ou d'oublier notre connexion à l'esprit. Et pourtant, sans ce lien, nous ne sommes que des morts vivants.

L'homme est un solitaire qui a besoin des autres.
Et plus il est ouvert plus il devient grand.

"Blacks, Blancs, Beurs", si ça allait de soi dans la société française, on n'aurait pas besoin d'en faire un slogan.

Nous devons nous éloigner d'une société obsédée par la consommation et le consumérisme, alors peut-être devons-nous revoir notre mode de vie et considérer comment nos actions et notre vie quotidienne affectent notre monde.

Il n'est pas indispensable d'être fou pour faire du cinéma. Mais ça aide beaucoup.

Perdre la mémoire, c'est perdre le contact avec le monde.

Nos esprits ont besoin de détente, et cèdent le pas à moins que nous ne mêlions au travail un peu de jeu.

Fais attention à ne jamais avoir à l'égard des misanthropes les sentiments qu'ont les misanthropes à l'égard des hommes.

Là où le danger et l'avantage sont égaux, l'étonnement cesse, et la pitié même s'affaiblit.

J'espère que demain, nous pourrons tous, où que nous soyons, nous joindre pour exprimer notre chagrin face à la perte de Diana et notre gratitude pour sa vie trop courte. C'est une chance de montrer au monde entier la nation britannique unie dans le chagrin et le respect.