Proverbe Latin sur Veut, Roi et Fou

A mon sens, la musique renforce, aussi bien dans la joie que dans le drame, les sentiments.

Le roi n'administre pas, ne gouverne pas, il règne.

L'objet de la philosophie est de commencer avec une chose si simple que ce n'est même pas la peine d'en parler et de terminer avec quelque chose de si paradoxal que personne ne veut y croire.

Je n'aime pas les nihilistes, par contre on peut penser ce qu'on veut du national socialisme du point de vue éthique, c'est quand même une culture...

Comme il est des options sur lesquelles on ne peut revenir, il est des joies qu'on ne veut recommencer.

On a beau croire le contraire, la joie se partage moins que le malheur.

Est un fou qui révèle à sa femme ce qu'il veut garder secret.

Il y a de la joie dans tout, même dans la honte ; le tout c'est d'oser la prendre.

Qui ne sait être fou n'est pas sage.

- Dis moi un nom d'une personne qui soit parti de rien et qui ait trouvé le grand Amour ?

- Un nom, elle veut un nom, mais j'en sais rien moi... Cette salope de Cendrillon ?!

C'est fou comme la voix seule peut dire d'une personne qu'on aime - de sa tristesse, de sa fatigue, de sa fragilité, de son intensité de vivre, de sa joie. Sans les gestes, c'est la pudeur qui disparaît, la transparence qui s'installe.

Etrangement, le projet fondamental du socialisme, libérer l'homme de la Chose, semble, dans son application concrète, l'y avoir aliéné davantage. De l'ordre des Choses, il n'a rien renversé.

Il faut et il suffit, pour qu'il y ait souveraineté, que soit effectivement présente une certaine volonté radicale qui fait qu'on veut vivre même lorsqu'on ne le peut pas sans la volonté d'un autre.

Le fou court après les plaisirs de la vie et trouve la déception ; le sage évite les maux.

Qui veut frapper un chien, facilement trouve un bâton.

Est-il indispensable, après tout, de découvrir qui l'on est ? Et n'y a-t-il pas plus de joie à se méconnaître, et à se perdre de vue ?

Folie : Il faut être un peu fou pour ne pas le devenir.

Il ne faut pas imiter ce qu'on veut créer.

On ne sait plus faire de galipettes de nos jours. J'entends des vraies galipettes de jadis, ces petits gâteaux ronds, dorés et croquants qui donnaient envie de danser chaque fois qu'on en mangeait et rendaient la joie de vivre aux plus moroses.

La joie n'est pas dans les choses, elle est en nous.

Quand j'étais plus jeune, ce qui veut dire plus vulnérable, mon père me donna un conseil que je ne cesse de retourner dans mon esprit: Quand tu auras envie de critiquer quelqu'un, songe que tout le monde n'a pas joui des mêmes avantages que toi.

Comme Jésus, nous appartenons au monde et ne vivons pas pour nous mais pour les autres. La joie du Seigneur est notre force.

Quand un mille-pattes veut se suicider, il lui suffit de passer sur un pont en marchant au pas cadencé.

La vie ne permet pas d'aller bien loin, non plus que d'approfondir le sens de tout ce qui est. L'être humain, si doué soit-il, reste toujours à l'extérieur de ce qu'il veut percer.

Quand on veut vivre parmi les hommes, il faut laisser chacun exister et l'accepter avec l'individualité, quelle quelle soit, qui lui a été départie.

S'associer à un fou est une tyrannie pour l'âme.

Qu'on laisse un roi tout seul sans compagnie, penser à lui tout à loisir ; et l'on verra qu'un roi sans divertissement est un homme plein de misères.

On ne fait pas ce que l'on veut et pourtant on est responsable de ce que l'on fait.

Qui veut la guerre est en guerre avec soi.

Un mendiant bien portant est plus heureux qu'un roi malade.