Citation d'Olivier Lockert sur Information, Transformation et Tue

En faisant de la conformité au politiquement correct la valeur numéro un, on tue la littérature.

Je n'ai jamais volé que mes instants de chance, Je n'ai jamais tué que le temps qui passait.

Il faut souffrir ponctuellement de la présence des autres, pour apprécier ensuite la solitude en connaissance de cause : les vrais solitaires ne sont pas des ermites, mais des mondains intermittents.

On blesse l'amour-propre, on ne le tue pas.

Je vois le droit comme un processus de transformation et le juriste comme un paysagiste.

Je serai la présidente du progrès social qui tient compte des réalités du monde du travail. Ces enjeux sont au coeur de ce qui peut redonner confiance aux Françaises et aux Français.

La connaissance égaye l'âme.

Le progrès en art n'existe pas. Il y a de grands artistes dans tous les siècles, et dans tous les pays, il y a des développements de style, mais il n'y a pas de progrès.

Plus on possède Dieu, plus on veut le chercher ; il est toujours au-delà de ce que nous atteignons ; il requiert sans cesse de notre part un nouveau progrès ; l'erreur serait de nous arrêter.

L'espèce de gens qui n'étaient pas heureux quand ils étaient enfants est l'espèce qui croit à l'intelligence, au progrès et à l'entendement.

La connaissance du génome donnera de nouveaux outils pour comprendre comment l'individu s'adapte et se construit historiquement à partir de son génome sans que le génome constitue pour autant un destin.

Sache donc que tu n'auras fait un réel progrès que quand tu auras perdu l'envie de prouver que tu as du talent.

L'éducation est un progrès social... L'éducation est non pas une préparation à la vie, l'éducation est la vie même.

Le véritable progrès démocratique n'est pas d'abaisser l'élite au niveau de la foule, mais d'élever la foule vers l'élite.

Les faux faits sont très préjudiciables aux progrès de la science, car ils durent souvent longtemps; Mais les idées fausses, si elles sont étayées par des preuves, font peu de dégâts, car chacun prend un plaisir salutaire à prouver leur fausseté.

Il ne faut pas laisser au jugement de chacun la connaissance de son devoir.

Dans la marche du temps, qu'est-ce qui nous tue ? Le tic ou le tac ?

On n'arrête pas le progrès dit-on. La bêtise non plus.

La connaissance du coeur humain, c'est l'érudition des flâneurs.

On parle du harcèlement sexuel, mais tout est devenu harcèlement - le politique, les médias, la société, cette information lancinante. Ça parle trop. Trop de mots pour être honnête.

L'artiste est ce professionnel de la transformation de l'implicite en explicite, de l'objectivation, qui transforme le goût en objet, qui réalise le potentiel, c'est-à-dire ce sens pratique du beau qui ne peut se connaitre qu'en se réalisant.

La flèche dans le carquois ne tue pas.

Si le malade meurt, c'est le médecin qui l'a tué ; s'il guérit, ce sont les saints qui l'ont sauvé.

Le rire tue la peur, et sans crainte, il n'y a pas de foi. Car sans crainte du diable, il n'y a pas besoin de Dieu.

La facilité avec laquelle nous renonçons, souvent, à notre culture ne s'explique que par notre ignorance de celle-ci, et non par une attitude progressiste adoptée en connaissance de cause.

Un certain trouble subsistera toujours dans la tendresse, car, avoir connaissance de la contrariété des sexes, c'est nécessairement en être troublé.

Ceux qui croient au progrès s'exposent au regret d'être nés trop tôt.

C'est dans la connaissance des conditions authentiques de notre vie qu'il nous faut puiser la force de vivre et des raisons d'agir.

Là où il y a connaissance vraie, il y a toujours joie.

C'est la nécessité de combattre qui semble oubliée... ce qui domine semble être la certitude tranquille d'un progrès en marche...