Le divorce n'est pas un honneur pour la femme.
Je ne suis pas pour la femme-objet, au contraire j'aime bien quand c'est moi qui ne bouge pas.
La femme peut être le recours et l'inspiration de l'homme. Elle peut aussi être sa ruine. Elle peut le rabaisser au rang de la bête.
La femme est la seconde faute de Dieu.
Par le mariage la femme devient libre ; par lui, l'homme perd sa liberté.
Pour intéresser le lecteur aujourd'hui, pour raconter un homme politique dans ses combats politiques, mais aussi dans ce qu'il a de chair - c'est de la chair, c'est une personne privée, qui a des passions, des amours, et heureusement... (...) [...] ► Lire la suite
Les hommes ne sont malheureux que dans la mesure ou ils n'assument pas les rêves qu'ils ont; alors que la femme a un rêve, c'est de garder le gars.
La femme n'est pas un être inférieur, c'est l'homme qui est un être supérieur...
Le véritable amour rend toujours un homme meilleur, quelle que soit la femme qui l'inspire.
La femme, ainsi, était toujours la bête de luxure, dont le prêtre simplement se servait aujourd'hui pour assurer le règne de Dieu.
L'homme est de feu, la femme d'étoupe et le diable souffle.
Combien d'hommes, amoureux d'une simple fossette, font la bêtise d'épouser la femme toute entière.
La femme la plus aventurée sent en elle une voix qui lui dit : "Sois belle si tu peux, sage si tu veux, mais sois considérée, il le faut".
Si le mari boit, la moitié de la maison brûle ; si la femme boit, toute la maison est en feu.
Ne jetez pas la pierre à la femme adultère, je suis derrière.
La femme est précieuse, elle donne naissance aux enfants.
Le temps de l'homme amoureux est destiné à la femme qu'il aime. C'est le seul message d'amour valable.
La femme est elle-même sa propre dot.
Depuis le premier jour, l'Eglise a pris et gardé la femme, comme l'aide la plus puissante de son oeuvre de propagande et d'asservissement.
La femme est un danger quand on n'en aime qu'une.
Tellement orgueilleuse que, lorsqu'elle commettait une erreur, elle disait : "Je suis vraiment la femme la plus bête du monde ! "
Dans un couple adultère, la femme y gagne deux hommes et nous n'en avons toujours qu'une à nous partager...ce sont bien nos moitiés.
Au lieu d'instinct, ne vaudrait-il pas mieux parler d'une fabuleuse pression sociale pour que la femme ne puisse s'accomplir que dans la maternité ?
La femme est la terre qui permet d'espérer toutes les récoltes.
Le mâle repoussé traite généralement de "salope" la femme qui, précisément, refuse de l'être.
La beauté atteinte par les seins de la femme n'était-elle point la gloire la plus resplendissante de l'évolution de l'humanité ?
La débilité mentale, ou la faiblesse d'esprit, de la femme est nous seulement une réalité, mais encore une nécessité.
Avec cette vente qu'on appelle la dot et ce tyran qu'on appelle l'époux, l'adultère n'est autre chose qu'une protestation de la première et de la plus sainte des libertés, la liberté d'aimer, contre l'esclavage de la femme et le despotisme du mariage.
Ce n'est pas parce qu'on est amoureux d'une fossette que l'on doit épouser la femme toute entière !
L'homme commence par aimer l'amour et finit par aimer une femme. La femme commence par aimer un homme et finit par aimer l'amour.
Toutes les mères, par principe, ne souhaitent rien tant pour leurs fils que le mariage, mais désapprouvent la femme qu'ils choisissent.
La femme est une eau fraîche qui tue, une eau profonde qui noie.
La femme belle et insensée est comme un anneau d'or au museau d'une truie.
Au commencement Dieu créa l'homme et la femme. Mais voyant leur faiblesse, il leur donna le chien.
La profession de modèle, au contraire, destitue la femme complètement et l'exile de sa personnalité, pour la reléguer dans les limbes de la plus ténébreuse inconscience.
La femme n'était-elle pas la honte et la perdition, une créature de dégoût, de péché et de terreur, devant laquelle tremblent les saints ?
Si le sexe fort s'entendait pour ne plus faire les avances, la femme, vaincue, prendrait bientôt le rôle de les faire.
On en viendra, espérons-le, à comprendre qu'une société est mal faite quand [...] la femme est maintenue sans initiative
Pour moi, mes sculptures représentent le monde de la femme amplifié, la folie des grandeurs des femmes, la femme dans le monde d'aujourd'hui, la femme au pouvoir.
Un féministe est un homme qui accepte de couper la poire en deux tout en s'assurant que la poire est encore la femme.
L'entendement de la femme s'arrête à la hauteur de ses seins.
La femme est un papillon qui pique comme une abeille.
L'homme qui n'aime pas ne vit pas ; la femme qui n'aime pas n'est pas.
Ange : La femme qu'on rêve. Démon : La femme qu'on a.
Le mari idéal, c'est celui qui rentre tôt, fait les courses, la vaisselle et s'occupe des enfants. On en conclut que le mari idéal, c'est la femme !
Le père est un miroir dans lequel la petite fille puis l'adolescente, peut discerner les prémices de la femme qu'elle deviendra.
La femme que j'aime, la pluie ne tombe pas sur elle.
La femme de demain sera efficace, séduisante et sans conteste supérieure à l'homme. C'est pour cette femme que je conçois mes créations.
La baise, c'est la vie. Fort de cette certitude qui me hante depuis que j'ai ma lucidité et du poil autour, je considère que la femme est un merveilleux cadeau.
L'homme et la femme sont comme les deux faces d'une médaille, ils ne peuvent pas se voir, mais ils restent ensemble.