Plus que la femme, l'homme est contraint au désir ; il ne l'est pas moins à l'amour.
Ma théorie est que la femme mûre est physiquement polygame mais émotionnellement monogame, c'est-à-dire le contraire de l'homme.
Si Dieu, quand il forma l'homme, avait éprouvé que la femme fût mal, il ne l'eût point donnée à l'homme pour compagne.
Tu n'embrasseras pas la femme de ton voisin, sauf si la tienne a succombé à ses caresses.
L'homme sans la femme et la femme sans l'homme sont des êtres imparfaits dans l'ordre naturel. Mais plus il y a de contraste dans leurs caractères, plus il y a d'union dans leurs harmonies.
Quand le mari est une poule et la femme un coq, la maison est sens dessus dessous.
La femme ne voit jamais ce que l'on fait pour elle : elle ne voit que ce que l'on ne fait pas.
La femme nous pardonne rarement d'être jaloux ; jamais de ne l'être pas.
Comme son rôle est de séduire, la femme se croit toujours au centre de l'univers, surtout quand elle est tombée très bas. L'avilissement de la femme est sans fond, de même sa vanité.
La femme qui vous aime vous parle d'avenir. Celle qui ne vous aime pas parle de présents.
L'homme ne peut guère avoir pour la femme que du désir qui assomme la femme ; la femme ne peut guère avoir pour l'homme que de la tendresse qui assomme l'homme.
La femme, c'est le corps de l'homme.
L'homme, doué de sa force physique, l'exerce par la violence. La femme, douée du charme, domine par la caresse. C'est notre arme, arme redoutable, invincible, mais qu'il faut savoir manier.
Je constate que les sujets des scénarios ont changé, ils traitent davantage des droits de la femme, de l'éducation, d'accès à la propriété que du rôle traditionnel de la mère qui doit se marier et avoir des enfants.
La nature ayant à créer un être qui convînt à l'homme, par ses proportions, et à l'enfant, par son moral, résolut le problème en faisant de la femme un grand enfant.