La femme est de feu, l'homme est d'étoupe, le diable passe et souffle.
Il y a dans l'adultère une minute exquise : c'est celle où l'on commence à préférer le mari à la femme.
Nous vivons tous des tragédies, nous avons tous des secrets, les errements de l'âme unissent l'humain. Nous avons ça en commun, nous voudrions être le seul à être la mémoire de la femme aimée, nous voudrions être des amants, avec des étreintes et du jus, entendre "encore, encore". Nous finissons sans talent !
Dieu, pourquoi n'as-tu pas fait en premier la femme? Quand tu étais frais?
Bouche. Chez l'homme, la porte d'entrée de l'âme ; chez la femme, l'issue du coeur.
La femme est faible. Elle ne peut échapper seule à la perdition. Un homme doit l'aider. À défaut d'un père, d'un frère, d'un oncle, il lui faut un mari.
L'âme de la femme ? L'espace autour duquel elle a été créée.
Le mariage, c'est l'état, c'est le trône de la femme.
En un seul point la femme le cède à l'homme: l'esprit de synthèse. La femme est plus éparse et rassemble moins.
Le style personnel vient de l'intérieur. C'est quand la femme, son individualité et son esprit se manifestent. Elle utilise des vêtements pour exprimer qui elle est et ce qu'elle ressent.
La femme qui dirigeait l'hôtel était attirante et je semblais lui plaire. Elle me confiait souvent qu'il y avait chez les juifs quelque chose qu'elle ne pouvait supporter ; elle les repérait tout de suite, quels que fussent leur nom ou leur apparence. Ils avaient une odeur particulière.
L'homme n'est plus qu'un présent de Dieu à la femme.
La femme rend lâche. C'est elle qui conseille au gréviste de rentrer à l'usine, à l'artiste de faire du commerce, au soldat de plier le dos. Parce qu'elle ne pense qu'à la pâtée, qu'elle a un pot-au-feu dans le coeur.
Pour moi, rien n'est plus beau qu'un couple épanoui. L'homme et la femme qui réussissent ce prodige, créent, ensemble, un troisième être qui dépasse chacun d'entre eux et qui les relie à l'harmonie du monde.
La femme se fait telle que la veut l'homme. L'ennui est que l'homme sait rarement ce qu'il veut. De là beaucoup de drames.
Si ce n'est pas l'homme qui descend du singe, c'est la femme.
Pour la moitié d'une lotte, la femme trousse sa cotte.
J'ai toujours fait en sorte que, même en employant des métaux et des choses un peu bizarres, que la femme belle, qu'elle soit une déesse, comme une extraterrestre, comme un rêve.
Outre la création d'un partenariat nécessaire à la survie, le mariage avait pour but la reproduction de l'espèce dans un environnement protégé, organisé pour que la femme ne se retrouve pas seule à élever ses enfants et que l'homme ne fuie pas ses responsabilités familiales.
Elle avait toujours eu trop de sagesse pour révéler toutes ses pensées et ses sentiments, sachant par quelque instinct de sa féminité que l'homme ne désire pas tout connaître de la femme.
La femme est la côte de l'homme.
En amour, selon les psychologues, si la femme rit, l'homme pleure.
La messe de l'amour, - on dirait que la musique est cela pour la femme.
Il suffit de concevoir la famille comme destinée à développer dignement l'action de la femme sur l'homme.
Elle se dit que c'est l'homme qui est proche de l'enfant, et non la femme. Car ils aiment jouer.
Trop suffit quelquefois à la femme.
Lorsqu'un homme prend la peine d'ouvrir la portière de sa voiture à une femme, de deux choses l'une : ou c'est la femme ou c'est la voiture qu'il possède depuis peu.
La femme prétend à la fois au droit de choisir et à l'honneur d'être choisie.
Il n'y a pas de moyen plus sûr pour parvenir dans ce monde que de coucher avec la femme d'un homme puissant.
La femme Gucci - vous savez ce qu'elle recherche. La femme Saint Laurent - elle va vous torturer un peu. Vous pourriez avoir des relations sexuelles, mais elle vous versera d'abord un peu de cire chaude.
Jamais d'incompatibilité d'humeur dans un ménage où la femme rit toujours quand son mari ressort une vieille plaisanterie et où le mari s'abstient de rire quand sa femme arbore une nouvelle toilette.
Idéal de la femme : être servie dans les petites choses, et servir dans les grandes.
La majorité des femmes mariées se plaignent de leur mari. La majorite des femmes non mariées se plaignent de ne pas avoir de mari. Donc le problème c'est pas le mari c'est la femme.
Sans la femme, l'homme ne pourrait pas être.
Le mariage ne représente pas un fardeau aussi lourd chez les Chinois. Quand on aime pas son mari, on lui cherche une concubine et on garde sa place dans la famille. Mais être la femme d'un homme pour lequel on a de l'aversion, c'est trop dégoutant.
Dieu n'a pas créé l'homme et la femme l'un après l'autre. Il a créé deux corps jumeaux unis qu'il a tranchés depuis le jour où il a créé la tendresse.
Il n'y a pas à dire, l'homme et la femme sont bien faits pour aller se compléter : lui, il désire avant d'aimer ; et elle, elle a besoin d'aimer avant de désirer.
Le plus important n'est pas ce que nous faisons, mais l'esprit qui nous meut. Faire la lessive ou écrire un roman, bien souvent le romancier sera moins grand et méritant que la femme qui bat son linge.
On nous dit : "Il ne faut pas dormir avec la femme de ses amis." Bon. Mais alors, avec qui ?
C'est bien le fait d'une femme qui commande de se féliciter d'un bonheur avant qu'il apparaisse. La femme trop crédule en ses désirs se repaît vite de chimères; mais les nouvelles qu'elle proclame périssent aussi vite.
La femme, qui, à toutes les époques, eut la vertu fâcheuse de rendre bavards les imbéciles, renferme de bons éléments qu'un délicat parfois utilise pour se faire à soi-même une belle illusion. Toutefois, elle fait un divertissement qui peut nuire à notre concentration et compromettre les expériences que nous voulons tenter.
Entre les gens et moi, tout est simple. J'ai l'impression qu'il n'y a pas de décalage entre la femme qu'ils imaginent et celle qu'ils croisent dans la rue
Le sort de la femme serve, c'est celui de la paysanne. De la paysanne de tous les temps. Travailler. Travailler durement.
Tous les dirigeants de l'Église, en tout cas, étaient d'accord pour juger nécessaire d'empêcher la femme de nuire. Par conséquent de l'encadrer. En la mariant.
La femme fait beaucoup de miracles.
Le grand premier rôle de la femme et qui va grandissant du XVIe au XVIIIe siècle, c'est celui de la favorite. Deux noms, deux types se présentent aussitôt à l'esprit: Mme de Maintenon, Mme de Pompadour.
Si un jour t'as des problèmes dans ton couple, hésite pas à m'en parler. Tu sais, ça fait vingt-trois ans que je suis marié, alors, la femme, je la connais. Oui, enfin, bon, je veux dire ma femme. Mais c'est toutes les mêmes, des chieuses. Enfin, la mienne...
Pour l'homme et pour la femme la vertu est la même.
Pour créer la femme, Dieu s'est inspiré de la contrebasse : une petite tête sur un long cou, un encombrement maximal, elle ne vibre que lorsque vous lui frottez le ventre, et émet un son qui couvre tout.
J'ai eu une fois une affaire de divorce, la femme se plaignait parce que son mari ne lui avait jamais allongé de claque quand elle lui lançait la lampe à la tête. Elle se sentait négligée.