Le plus grand problème de la femme est qu'elle finit par être la mère de son homme.
Fermez les portes sur l'esprit de la femme et il s'échappera par la fenêtre ; fermez la fenêtre et il s'échappera par le trou de la serrure ; bouchez la serrure et il s'envolera avec la fumée par la cheminée.
La femme, indulgente et sensible, est toujours disposée à pardonner en faveur de la bonne intention.
La femme observe et l'homme raisonne.
La femme qu'on épouse, on lui fait confiance pour l'intelligence comme pour tout le reste.
Après l'amour, l'homme s'endort, alors que la femme pense.
Gardons-nous, pourtant, de trop céder à la tentation de la généralisation. Dans la pire des époques, sous la condition la plus vile, la femme a vu chaque année naître le printemps.
La femme commence par résister aux avances d'un homme et finit par bloquer sa retraite.
Une femme porte ses vêtements. Mais la chaussure porte la femme.
Ne riez pas de la femme d'un autre car qui sait si demain elle ne sera pas la vôtre.
La femme est souvent pour l'homme un agréable compagnon de jeux.
Est-ce la même chose pour la femme que pour le mari, l'adultère ? Une manière d'échapper aux grosses émotions par de petits mots.
La contemplation du corps de la femme doit être une réponse rassurante à l'angoisse du monde.
Cette peur folle qui blêmit la femme à l'approche du mâle.
La femme amoureuse est audacieuse sans le savoir.
La femme n'a, en somme, devant la millénaire inconscience de l'homme, qu'une alternative : la souffrance ou le durcissement.
L'homme n'est peut-être que le monstre de la femme, ou la femme le monstre de l'homme.
La femme, c'est la multiplication des problèmes, la soustraction de l'argent et la division des amis.
Quoi de plus léger qu'une plume ? La poussière. - De plus léger que la poussière ? Le vent - De plus léger que le vent ? La femme. - De plus léger que la femme ? Rien.
La femme que l'on a aimée résume-t-elle toute notre conception de l'amour ?
Le monde change merveilleusement mais la femme est toujours l'esclave de l'homme, d'une manière ou d'une autre.
L'homme s'enorgueillit des analyses subtiles de son intelligence, mais la femme possède un instrument moins logique et plus aigu qui scrute davantage l'avenir : l'intuition...
La femme nous rend poète ; l'enfant nous rend philosophe.
L'émancipation sexuelle de la femme a introduit dans les moeurs l'illusion que l'acte d'amour, maintenant dissocié à volonté de la procréation, a perdu son ancienne gravité.
La nature a fait la femme de manière qu'elle ne puisse agir d'après ses principes, mais selon sa sensibilité.
Quelle est la partie la plus faible de l'homme ? C'est la femme.
Un jour, un jour c'est sûr Reviendra le jour pur L'immense jour d'avant le Temps Alors la femme et l'homme Retrouverons la pomme Sans la morsure dedans.
On n'est plus fort que la femme qu'à condition d'être plus femme qu'elle.
Il est significatif que le statut de la femme demeure à peu près inchangé là où les religions sont encore très puissantes. Partout ailleurs, il est remis en question.
Dieu voulut résumer les charmes de la femme En un seul, mais qui fut le plus essentiel, Et mit dans son regard tout l'infini du ciel.
Une danse avait fait de moi la femme de couleur la plus célèbre au monde.
La femme est une louve pour la femme.
Chien. Sorte de divinité de substitution. Cette entité sacrée tient dans le coeur de la femme une place à laquelle nul humain de sexe mâle ne pourra jamais prétendre.
L'adversité est la route qui conduit le plus sûrement à la vérité. Celui qui a connu la guerre, les orages et la fureur de la femme, qu'il compte dix-huit ou quatre-vingt hivers, a conquis l'inestimable avantage de l'expérience.
La femme peut parfois diminuer son amour, mais jamais sa haine.
La femme la plus compliquée est plus près de la nature que l'homme le plus simple.
L'ego de l'homme et de la femme sont égaux.
La femme est un roseau dépensant.
Comment l'homme et la femme pourraient-ils se comprendre ? Car en fait tous deux souhaitent des choses différentes : l'homme, la femme et la femme, l'homme.
La femme est un certain animal difficile à connaître.
La gloire de la femme est sa beauté, celle de l'homme est sa force.
Le caprice chez la femme est l'antidote à la beauté.
On ne fonde pas le mariage sur « l'amour », on le fonde sur l'instinct de l'espèce, sur l'instinct de propriété (la femme et les enfants étant des propriétés), sur l'instinct de la domination qui sans cesse s'organise dans la famille en petite souveraineté.
La femme, lorsqu'elle enfante, passe par la souffrance ; pourtant elle ne se souvient plus de ses douleurs dès qu'un homme nouveau est enfin né dans ce monde.
- Qu'est-ce que la femme ? - C'est une étoile dans l'eau.
La seule satisfaction réelle de l'homme, c'est de provoquer la jouissance de la femme.
La femme parle toujours de son âge et ne le dit jamais.
Je considère ma femme comme mon amante, et nous avons un lien qui va au-delà des mots comme la femme ou la petite amie ou la mère.
L'homme est toute vérité, la femme toute séduction.
Cul. Chez l'homme, la partie la plus indigne de l'anatomie : on la botte. Chez la femme, c'est là qu'est le siège de la dignité.
